Dans le premier cas, il s’agit de remettre un peu d’humain dans le pixel :
Guillaume Reymond – Space Invaders performance (2007)
Dans le second cas, c’est plutôt de ramener l’humain à l’état de pixel :
Zhang Yimou - Cérémonie d’ouverture Beijing 2008 (pour d'autres images dans le genre, c'est là).
Et entre les deux, rappel de ce réjouissant Shaolin Ping Pong avec ses effets Matrix faits à la main.
Il ne s’agit pas tant de passer de l’humain au pixel ou inversement que de refaire le trajet du numérique au mécanique, laquelle (attention lieu commun !) quand elle est plaquée sur du vivant génère le burlesque.
2 commentaires:
La vidéo sur Pékin n'est plus dispo mais je crois que... I see the point.
Space invaders (dont la bande-son est pour moi la superbe cerise sur le gâteau) et Matrix (quelle formidable précision physique) m'auront offert deux beaux éclats de rire aujourd'hui.
En fait, le Matrix japonais m'évoque (mais d'assez loin il est vrai) quelques sketchs sur le sport du groupe burlesque catalan El Tricicle, lesquels avaient participé à la cérémonie de clôture des JO de Barcelone en 92, ce qui quelque part boucle la boucle.
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