Au bout de la table, il y a lui qui débarque et qui met l'ambiance :
A l'autre bout de la table, il y a elle qui est la seule à lui répondre, à le reprendre de volée même :
Au bout de la table, il y a lui qui débarque et qui met l'ambiance :
A l'autre bout de la table, il y a elle qui est la seule à lui répondre, à le reprendre de volée même :
... le cinéma va repartir.
Enfin, pas tout de suite, on s'en doute.
Si l'on en croit la série post-Brexit Years and Years (Russel T. Davies), voilà où en sera dans les prochaines années : exacerbation de toutes les crises actuelles (financières, migratoires, climatiques), conflits armés qui ne reculent plus devant le nucléaire, triomphe planétaire des populismes et des politiques répressives, addiction aux technologies. Au milieu de ce riant tableau (puisque la série réussit quand même à être drôle avec une forme d'ironie à la fois grinçante et légère, qui rappelle les romans de Jonathan Coe), le cinéma paraît miraculeusement épargné (il faut dire que la série n'avait rien prophétisé de la pandémie). Et l'on glisse donc (dans l'épisode 3) des nouvelles du cinéma en 2026 :
Miam, ça donne envie. Vivement 2026 pour le retour dans les salles. C'est rassurant de savoir qu'en ces temps si troublés, Pixar sera toujours là pour illuminer nos grands écrans, et que l'exception Soul sur Disney + (que je n'ai toujours pas vu) n'aura pas fait jurisprudence.
Spoiler : Woody "finit entièrement cramé" à la fin de Toy Story Resurrection. Mais bon, il devra bien revivre à la faveur d'un spin-off.