Pas grave, il me reste le début de Blow up (Michelangelo Antonioni 1966), le meilleur document sur ce bâtiment qui hybride la construction métallique et les massifs blocs de pierre, la transparence du verre et les fossiles minéraux (quand on s’approche, on voit des coquillages dans la pierre). Et puis, dans cet étonnant espace urbain, cette sorte de place italienne en miniature, la belle impression de se retrouver dans une toile de Chirico en trois dimensions. L’alliance des vestiges et du contemporain.
jeudi 19 juillet 2007
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