Aux habitués de ces pages, à ceux qui sont passés ou ne passeront ici qu’une seule fois et ne reviendront plus, à ceux que j’ai rencontrés grâce à ce blog, à ceux qui ne sont jamais d’accord avec moi, à ceux qui ne voient pas les images de ce blog parce qu’elles sont trop lourdes pour leur ordi si léger, à ceux dont ce blog bloque leurs commentaires, à ceux qui laissent des commentaires, à ceux que j’ai retrouvé grâce à ce blog, à ceux qui arriveront ici dans six mois après avoir googlé le titre de la meilleure chanson du meilleur groupe du monde (enfin de Toulouse) de tous les temps (enfin de 1996), à ceux qui laissent des commentaires que je découvre toujours avec joie, à ceux qui sont arrivés ici en altavistant des renseignements sur La garçonnière (Billy Wilder 1960) ou Eloge de l’amour (Jean-Luc Godard 2001) – qui sont photogrammés dans ce billet -, à ceux qui forrestgumpisent en pensant que « les jours de l’année, c’est comme les crêpes, c’est pas grave si le premier est raté », à ceux qui pensent à juste titre que ce blog manque cruellement de Bergman et de Pasolini (promis, ça viendra), à ceux-là et à tous les autres, je ne peux que souhaiter le meilleur pour cette année olympico-bissextile qui s'ouvre (à ceux qui comme nous attendent un enfant et se demandent si ça va poser un problème qu’il arrive un 29 février) et surtout, surtout, surtout, ne leur adresser que ces quelques mots :
mardi 1 janvier 2008
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1 commentaire:
J'avais souhaité bonne année à tout le monde, mais pas aux spams !
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