« Quand c’est bête, c’est sur internet. » (proverbe grolandais)
Et la deuxième :
« L’architecture n’échappe pas à la gravité, à tous les sens du terme. D’abord, on n’échappe pas à Newton et ensuite, l’architecture comique, ça n’existe pas. » (proverbe de professeur d’architecture entendu maints fois du temps où j’étudiais cette discipline).
Ben si, justement la preuve.
Mais au-delà de la poésie et du dadaïsme involontaire de ces fragments architecturaux, presque le sentiment de retrouver des lieux d’inspiration pour le burlesque, comme si chaque décor, même le plus fantasmé, même celui qui ne peut exister « que dans la tête d’un cinéaste » avait forcément sa traduction construite quelque part sur cette Terre.
Ainsi (à gauche, quelque part sur Terre; à droite, au cinéma) :
Escalier ne pouvant être monté ou descendu que par la méthode Buster Keaton.
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One week (Buster Keaton 1920)
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Nono Nénesse (Jacques Rozier 1976)
Film quasi invisible où Jacques Villeret et Bernard Menez ramenés à l'échelle de poupons, évoluent dans des décors disproportionnés. Remake d'un Laurel et Hardy dont j'ai oublié le nom et préfiguration de la franchise "Chéri, j'ai rétréci..."
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Dans la peau de John Malkovich (Spike Jonze 1999)
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Nous, les vivants (Roy Andersson 2007)
Rapprochement peut-être plus clair sur l'extrait.
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