21 juin, jour béni de l’été et jour honni de la Fête de la Musique.
Malgré la quasi-certitude d’en repartir déçu, qu’est-ce qui nous fait quand même traînailler derrière les décibels et les larsens ? Est-ce l’espoir de croiser, au coin de la rue, un moment aussi magique que celui-là :
Malgré la quasi-certitude d’en repartir déçu, qu’est-ce qui nous fait quand même traînailler derrière les décibels et les larsens ? Est-ce l’espoir de croiser, au coin de la rue, un moment aussi magique que celui-là :
Un moment qui nous transporte au point de continuer à danser comme des fous même sous la pluie.
Ce syncrétisme entre le carnaval, le défilé, la fanfare et la rave-party, c’est dans Shara (Naomi Kawase 2003) et en 25 ans de la Fête de la Musique, des moments comme ça, on n’a pas dû en vivre beaucoup sur le trottoir parisien.
Pour donner une idée de la bande son qui accompagne ces danses, disons que nous entendons là une sorte de conciliation entre des « Aaaah !......... Aaaah !............ Aaaaah !................ » séraphiques murmurés par une chorale de sirènes japonaises et des « Hey ! Hey ! Hey » bien plus secs et nerveux, pas si éloignés des Gabba Gabba Hey scandés par les Ramones. Espérons que ça parle aux connaisseurs !
3 commentaires:
En parlant de Naomi Kawase, je suis extrêmement frustré de ne pas avoir encore réussi à voir un seul de ses films. :(
ça leur parle, ça leur parle !
Cyrod
Y aurait-il des fans communs aux Ramones et à Naomi Kawase ?
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