Et pourtant, plutôt que des chefs d’œuvre consacrés, ces films sont des fulgurances qui ouvrent des voies inédites et stimulantes pour le cinéma.
Prochainement, sur cet écran, éloges et louanges de :
Walkower de Jerzy Skolimovski (1965) : la jeunesse et l'amour en douze rounds et en onze plans-séqences.
Les naufragés de l’île de la tortue de Jacques Rozier (1976) : Fuir, là-bas fuir... fuir surtout tous les repères.
Le dernier des immobiles de Nicolas Sornaga (2003): La poésie, c'est contagieux ?
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