Il y avait déjà eu cette inversion d'il y a quelques semaines,
déjà pointée ici, entre ces deux films (celui de gauche pourrait avoir l'affiche de droite), mais ça ne marchait que dans un sens :
Mais ce matin, au dos d'un kiosque de Ménilmontant, le switch parfait : entre les deux affiches, on peut tout inverser (photos, titres, postures, attitudes) et ça donnerait exactement le même résultat :
Bon, comme la photo est vraiment de mauvaise qualité, j'en ai fabriqué une nouvelle avec la preuve de ce que je vous avance :
6 commentaires:
Le rapprochement est très drôle mais j'écris surtout à propos de quelque chose de beaucoup plus sérieux ; je cherche les passages du blog concernant Scosese et je n'ai pas l'impression qu'il figure dans la liste du sous-blog. Pourrais-tu me renvoyer aux passages le concernant, s'ils m'ont échappés. Merci.
Cher anonyme.
C'est très flatteur à vous d'utiliser ce blog comme base de données... mais si nous n'avez pas trouvé Scorsese, c'est malheureusement que je n'ai (encore) rien écrit sur lui. Un vide à combler sans doute... d'autant plus que j'apprécie en général son cinéma (même si ses derniers titres quoique agréables me laissent finalement froid), mais voilà, jamais trouvé l'inspiration ou l'occasion... Ca viendra sans doute un jour.
Cela dit, si vous cliquez sur mon nom, j'ai mis en lien un article sur un autre blog, mais vous le connaissez peut-être.
Joachim, avez-vous déjà vu le film "L'Autre"? La manière dont les réalisateurs présentent l'architecture de la banlieu m'a frappé et m'a fait penser à votre blog. Je voudrais bien connaître votre opinion là-dessus.
BRUNO
Non pas encore, mais c'est prévu dans les prochains jours. Cette vision des "non-lieux" m'attire beaucoup en effet (beaucoup plus que le sujet premier du film en fait), même si le discours sur ces environnements est parfois un peu attendu... mais comme Bernard et Trividic aiment (et savent) surprendre...
Florent Marcie a filmé les affiches dans les kiosques de cette façon. Je crois que c'était avec la guerre. Malheureusement, je n'ai jamais eu la chance de voir ce film. Mais cela m'y fait penser avec cette autre guerre...
Ah oui effectivement :
http://www.nomans-land.eu/le_kiosque_et_la_guerre.html
(ou alors lien sur mon nom)
Je ne connaissais pas du tout (et pas vu Itchkéri Kenti non plus, d'ailleurs).
Merci.
Depuis William Klein et les nouveaux réalistes et Godard, les collisions de sens sur les affiches sont une mine, de toute façon.
La première fois où ça m'a marqué, c'était le lendemain de la libération de Florence Aubenas où j'ai vu tous les quotidiens alignés avec sa photo, son sourire, etc... et tout en bas de la pile, le titre de Paris Turf: "Divine à tous les niveaux", la Divine en question devant être le nom d'un cheval surperformant... mais effectivement ce jour-là, sur le kiosque, la Divine journaliste était bien à tous les niveaux.
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