jeudi 28 mai 2009

Avant Cannes...

... il y avait pour moi, le festival régional du film d'art lycéen ou plutôt ma première expérience pédagogique au long cours, ou plus précisément, pour terminer cette année scolaire, une exposition Traces urbaines sur la thématique "ville et vidéo" dont j'ai (en partie) encadré les travaux.

Sur le "mur livre d'or", j'aime beaucoup cette petite taquinerie complice sur le prénom de mon collègue :
Bon, évidemment, si j'avais travaillé avec God-Art (ou God-Hard ?), je ne toucherais plus terre. Quant à Là-Quand, il ne serait, je crois, jamais venu. Et True-Faux serait-il "un mensonge qui dit la vérité" ?..

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Excellent ! Comment n'y avoir pas pensé plus tôt ? Surtout à propos de noms pourtant tant de fois lus, entendus et rêvés. C'est donc qu'il fallait être aveugle. Peut-être la faute à l'amour.

Joachim a dit…

Je me souviens que l'affiche de "Hélas pour moi" (1993) jouait (discrètement, grâce à jeu de typographie) sur les mots et les noms God-ard et Depar-Dieu. Ce n'est donc pas moi qui l'ai inventé...