... (l'un de ceux qui m'a fait le plus hurler de rire), passent au cinéma.
Malheureusement, je ne sais pas trop quoi penser des premières images de leur film... qui sent déjà un peu trop la charliekaufmanerie appliquée. Wait... Sortie le 18 juin. Sinon, à voir encore cet autre sketch, on se demande s'ils vont réussir à être aussi drôle.
5 commentaires:
Salut Joachim
Je te répond ici, tu as plus de chance de me lire.
Alors Stance ou pas Stance ? J'arrête le suspens : pas Stance. Mais je le connais bien. On bosse même ensemble...
Steak... Un peu marre d'entendre que c'est un "piège", dans lequel je serais "tombé". Le film tel qu'il est et la question qu'il pose (qu'est-ce qu'un groupe ?), la même que, par exemple, The mission, Mods ou les films d'Anderson (qui l'ont forcément influencé, mais alors ?) me semblent bien plus intéressant qu'un film sur l'éternelle jeunesse et tous ces attrape-nigauds. Pas envie d'argumenter beaucoup plus, d'autant plus que je comprends parfaitement qu'on puisse s'emmerder devant. Mais par pitié, comprends de ton côté qu'on puisse le trouver passionant ;)
Napoleon Dynamite, je ne peux que te le recommander, évidemment.
Sinon, Le message à caractère informatif est un des 10 plus beaux trucs qu'ait faite la télé française.
Je n'ai qu'un dvd de "comiques" à la maison : "Le message à caractère informatif". C'est plus fort que tout. Ces deux types sont vraiment des winners très intéressants. Pourvu qu'ils ne se plantent pas trop avec leur film (comme tous les autres).
Les deux auteurs des Messages à caractère informatifs (que j'adore également) n'ont pas récemment écrit un scénario ou les dialogues d'un film pas terrible ? C'est un vague souvenir d'avoir lu ça il y a quelques mois (dans la presse ou dans un générique). Et je n'arrive pas à me souvenir...
Ils ont participé au scénario de "99 francs" ainsi qu'au "Bureau", la VF de ce chef d'oeuvre qu'est la série anglaise "The Office". Paraît d'ailleurs que cette version, avec François Berléand, n'est pas extraordinaire, assez littérale alors que, paraît-il encore une fois (parce que je n'ai rien vu) la version US avec Steve Carrell innove et s'éloigne avec plus de bonheur du modèle.
Est-ce qu'un "message à caractère informatif" à l'échelle d'un long-métrage, ce serait possible ? Quelque chose comme "La dialectique peut-elle casser des briques ?" appliquée au discours du management? On en rêve... Dans le même genre, j'ai toujours pensé qu'une adaptation contemporaine des "Instructions aux domestiques" de Jonathan Swift en dirait vraiment beaucoup sur le monde de l'entreprise, avec le même humour de winner ravageur. Ca a été écrit, il y a plus de deux siècles, mais les rapports et les mécanismes n'ont pas changé.
Cela dit, ils ne sont pas les premiers réalisateurs à avoir fait leurs armes dans le détournement puisque Michel Hazanavicius (celui de OSS 117) avait fait son petit effet avec "le grand détournement" (à partir de films Warner des années 30 à 50). C'est visible par petits bouts sur Youtube.
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