"365 jours ouvrables", c'est un peu plus encourageant qu' "à chaque jour suffit sa peine". C'est surtout le titre d'une (la meilleure ?) chanson de Diabologum , groupe fort inégal mais excitant dans son avidité de découverte et dans les quelques mots d'ordre lancés dans leurs chansons: "A découvrir absolument" ou "L'art est dans la rue", slogans avec lesquels on ne pouvait être que d'accord. Et puis pour avoir mis en musique rageuse le monologue final de Françoise Lebrun dans "La maman et la putain", il sera immensément pardonné à ce groupe. Je retrouvais aussi dans ces compositions une certaine impatience adolescente et désordonnée et surtout une envie de faire partager ses dernières découvertes en musique en art, en cinéma ou en littérature. A sa manière, ce blog tente la même chose. D'abord en tentant d'établir des "passerelles" entre différentes oeuvres et / ou évènements. Ensuite, en essayant de faire découvrir des films rares qui me tiennent à coeur ("films inconnus"). Enfin , mes textes et mes photos interrogent mes expériences autour de mes deux terrains de jeu et chantiers de réflexion favoris: la ville dans laquelle j'évolue et le cinéma que mes yeux préfèrent.
2 commentaires:
Beau (dé)collage.
Oh oui le regard amoureux du pilote sur sa carlingue juste au milieu du ciel...C'est très beau et très bleu...
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