tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post1478383551437787464..comments2023-10-11T03:23:58.615-07:00Comments on 365 jours ouvrables: Le jour des mortsJoachimhttp://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-44142650888693476682008-11-04T15:06:00.000-08:002008-11-04T15:06:00.000-08:00InsulaMerci pour la référence. En parcourant votre...Insula<BR/><BR/>Merci pour la référence. En parcourant votre blog, j'ai vu vos références à Edouard Levé dont la gravité paradoxale de sa disparition préméditée me touchent autant que les images que j'évoque dans ce billet. Cela dit, je n'ose même pas lire "Suicide" qui me paraît un objet presque effrayant voire maléfique.<BR/><BR/>Junior<BR/>Je ne connais pas tout de Sfar. En plus d'une orthographe quasi voisine avec Safran Foer, je peux effectivement y voir chez lui une certaine tendance au merveilleux couplé avec l'évocation de moments historiques. Quelque part, les deux me paraissent des enfants de Chagall.<BR/>De Sfar, j'attends surtout ses débuts dans le long-métrage avec "Serge Gainsbourg, vie héroïque" (rien que le titre, c'est autre chose que "l'histoire d'un mec") qui promet beaucoup de lyrisme, de glamour et d'invention. <BR/><BR/>David<BR/><BR/>A vrai dire, je n'ai pas encore fini le roman de J Safran Foer, mais ce sont ces dernières images qui m'ont attiré vers lui. Cela me promet encore de belles heures de lecture.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-64551286602508955042008-11-03T10:41:00.000-08:002008-11-03T10:41:00.000-08:00Pendant des mois, Claude nous traduisait des extra...Pendant des mois, Claude nous traduisait des extraits de ce livre. Amateur de flip-book et certain du jugement de Claude j'attendis la traduction. Et puis sans déception, il me fut possible de suivre l'enfant dans New-York à la recherche de Black, l'homme, la couleur et le sombre. Tout cela avec humour et une gravité touchant à la fois au poids léger d'un corps en chute qu'à son envol. Heureux de comprendre aussi, et là c'est à Joachim que je le dois que cette gravité, (pouvais-je en douter) touchait également Bresson.Liaudet Davidhttps://www.blogger.com/profile/12270593332885747652noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-47305665217364660892008-11-02T16:56:00.000-08:002008-11-02T16:56:00.000-08:00il parait qu'il est vraiment bien le recueil de pa...il parait qu'il est vraiment bien le recueil de papier encré de sfar.Juniorhttps://www.blogger.com/profile/10580777164628252054noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-34707348305979705312008-11-01T14:10:00.000-07:002008-11-01T14:10:00.000-07:00"Déborder, tel est bien le crime impudique (...) :..."Déborder, tel est bien le crime impudique (...) : figurer comme puissance impossible à résorber dans le jeu social, puissance ne pouvant faire l'objet d'une négociation, d'un échange, d'un partage (...). Déconnecter, localiser, circonscrire : un tel travail de cloisonnement spatial est à l'oeuvre dans la stratégie de la pudeur." Monique Schneider, La pudeur : la réserve et le trouble.Insula dulcamarahttps://www.blogger.com/profile/17865110396811538026noreply@blogger.com