tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post7067022385646387340..comments2023-10-11T03:23:58.615-07:00Comments on 365 jours ouvrables: Le naufrage d'une utopieJoachimhttp://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comBlogger9125tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-9272072211715765692012-06-09T09:55:33.463-07:002012-06-09T09:55:33.463-07:00Film flippant, architecture flippante, qui pourtan...Film flippant, architecture flippante, qui pourtant ne doit pas nous détourner du rêve de l'utopie urbaine... <br />www.vraiment-ailleurs.com<br />Sinon, à quoi bon faire de la ville ?Ziwoxyhttps://www.blogger.com/profile/12808518703934662336noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-76568526969905662682008-08-29T10:12:00.000-07:002008-08-29T10:12:00.000-07:00j'ai eu enfin le droit à ma séance Gomorra. Finale...j'ai eu enfin le droit à ma séance Gomorra. Finalement peu sensible aux trames un peu éculées de la mafia, sauf peut-être aux tueurs ventripotents en shorts fluos, reste l'architecture. <BR/>Fascination totale mais dans un flou de la profondeur de champ comme si il fallait raccourcir les points de fuites possibles (le jeu de mot est aisé je sais). La légèreté du gamin qui grimpe récupérer l'arme ajoutant une circulation verticale, le manège des camions conduits par les gosses, et les espaces ouverts ne servant finalement qu'à des séances de tirs apportent tout de même une vraie jubilation.Liaudet Davidhttps://www.blogger.com/profile/12270593332885747652noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-19432236640421964722008-08-29T04:18:00.000-07:002008-08-29T04:18:00.000-07:00Merci cher Ed.En France, aussi, il y a des cités m...Merci cher Ed.<BR/><BR/>En France, aussi, il y a des cités mégalomanes mais qui ne manquent pas d'attrait architectural (notamment les oeuvres d'Emile Aillaud ou de Jean Dubuisson - doit y avoir des photos sur Wikipedia) et pourraient servir d'intéressant cadre cinématographique pour d'éventuelles fictions. Ensuite, c'est toujours difficile de s'immerger dans de tels contextes, évidemment très "contrôlés" par les parrains locaux.<BR/>Je me souviens avoir pas mal entendu parler l'année dernière de la série de Canal "la commune" qui traitait des "valeurs" de la banlieue (apparemment tant du point de vue moral qu'économique) mais je ne l'ai pas vu. Je ne sais pas si c'est à la hauteur de sa réputation.<BR/><BR/>C'est vrai, cependant, que l'urbanisme contemporain n'est pas réellement traité dans les films français, sauf pour le stigmatiser de manière assez binaire, alors que ses composantes sont tellement complexes... Comme autres exemples, je ne vois que Godard dans "Deux ou trois choses..." (assez intéressant parce qu'on voit La Courneuve "toute neuve") et les villes nouvelles chez Rohmer ("Les nuits de la pleine lune" ou "L'amie de mon amie")... mais ça fait déjà un moment.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-23977964048663951342008-08-28T05:39:00.000-07:002008-08-28T05:39:00.000-07:00Cette photo de la cité que tu reprends en haut de ...Cette photo de la cité que tu reprends en haut de ta note est l'une des choses qui m'a vraiment donné envie d'aller voir "Camorra", quand je l'ai vue dans la presse.<BR/>J'espérais bien te lire un jour à ce propos. Bravo pour cette nouvelle approche du film de Garrone.<BR/>Tout le long, je me suis demandé "Est-il possible de faire cela en France ?". Du point de vue social, politique, mais aussi avec une telle insertion dans un lieu précis et bien réel. Je ne vois guère d'exemple (ou alors, peut-être, remonter aux "films de banlieues" à l'époque de "La haine" et "Etat des lieux").Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-63488098918416745582008-08-28T02:55:00.000-07:002008-08-28T02:55:00.000-07:00Merci Joachim pour ces précisions Night and day ar...Merci Joachim pour ces précisions <BR/><BR/>Night and day arrive mercredi à Caen ...mais pas encore Woman on the beach. <BR/><BR/>Ici, on a toujours droit au ciel plombé de la seconde affiche... Si tu peux nous superposer un peu de soleil, je ne suis pas contre.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-39870431870147793712008-08-27T07:56:00.000-07:002008-08-27T07:56:00.000-07:00Merci Jean-Luc pour tes mercis.Je dois d'abord avo...Merci Jean-Luc pour tes mercis.<BR/><BR/>Je dois d'abord avouer mon ignorance puisque n'ayant pas vu "Main basse sur la ville", je ne peux pas répondre à ta première question. Si quelqu'un a la réponse...<BR/><BR/>Quant aux acteurs, j'ai cru comprendre qu'ils étaient en grande partie non professionnels (sauf Toni Servillo, l'entrepreneur qui enfouit les déchets ainsi que le tailleur et le "comptable" ainsi que les rôles de flics apparemment). Pour l'anecdote, le parrain barbu (le premier qui menace les deux jeunes qui ne le prennent pas au sérieux) a été arrêté pour un ancien braquage (reconnu par un spectateur du film) depuis. Autant de petites histoires qui contribuent à la légende de ce film "avec des vrais morceaux de Camorra dedans" comme à la légende de la Camorra elle-même d'ailleurs. J'ai cru aussi comprendre que les Vele étaient aujourd'hui un peu plus "abandonnés" et moins habités que dans le film et qu'un certain travail de déco (et de rénovation d'apparts) a pu profiter aux habitants, dont une bonne part doit figurer dans le film. Mais n'ayant pas d'infos de première main, je m'arrête là. <BR/>Sur le Net, j'avais trouvé le blog d'un Parisien "expatrié" à Scampia et qui parlait de l'avant-première du film sur place (quelques jours après Cannes)... mais je n'arrive pas à retrouver l'adresse.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-37260452713666710392008-08-27T03:25:00.000-07:002008-08-27T03:25:00.000-07:00Bonjour,merci pour cette analyse de l'architecture...Bonjour,<BR/><BR/>merci pour cette analyse de l'architecture de la cité des Vele.<BR/><BR/>Sais-tu comment s'appelle le quartier dans lequel l'immeuble s'écroule dans Main basse sur la ville ?<BR/><BR/>A part les acteurs principaux des cinq histoires et probablement les parrains du "systeme", sais-tu<BR/>si les autres acteurs sont des habitants du quartier ?<BR/><BR/>Bonne rentrée et merci pour tes articles aussi instructifs que bien écrits.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-50043794543230322582008-08-26T15:08:00.000-07:002008-08-26T15:08:00.000-07:00C'est amusant de penser que l'architecture peut êt...C'est amusant de penser que l'architecture peut être un palliatif à la noirceur ou à la violence d'un film, même si, après ta remarque, je me dis que moi aussi, "ça m'a servi d'écran protecteur" face à ces images. Cela dit, je trouve aussi que l'une des grandes qualités du film tient aussi dans sa sécheresse et dans son absence de pathos qui évite le danger de l'obscénité.<BR/>Cela dit, toi qui as visité le Corviale de nuit (ce qui moi aurait tendance à me donner des frissons), ça devrait t'intéresser. Pour ma part, c'est la première fois que je vois comment les gens vivent dans de telles mégastructures. J'ai l'impression que la situation de la grande barre romaine est parfois comparable et en même temps assez différente.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-81942761462166458172008-08-25T10:46:00.000-07:002008-08-25T10:46:00.000-07:00J'hésitais à voir ce film, aux images trop dures p...J'hésitais à voir ce film, aux images trop dures pour moi. J'hésitais.<BR/>Mais si je peux, avec cette architecture passer outre cette difficulté je deviendrais un spectateur. Car étrangement, il est alors question d'une attirance. ce qui pourrait également me faire peur.Liaudet Davidhttps://www.blogger.com/profile/12270593332885747652noreply@blogger.com