tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post3659966306628344413..comments2023-10-11T03:23:58.615-07:00Comments on 365 jours ouvrables: Dialogue entre le film français de 2008 et le film français de 2009Joachimhttp://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-13558529088000181332009-10-11T14:00:36.092-07:002009-10-11T14:00:36.092-07:00Kaherk
Mouarf = Mouais + Ouarf ? ;-)
Pour être h...Kaherk<br /><br />Mouarf = Mouais + Ouarf ? ;-)<br /><br />Pour être honnête, moi non plus, je ne sais plus très bien au bout d'un moment qui dit quoi mais ça n'a pas beaucoup d'importance, étant donné que le propos reste tout de même assez à l'unisson.<br /><br />Entre les murs paraît, en effet, davantage axé sur la répétition et avancer par des petites réussites au milieu d'une grande impression de stagnation, quand la progression d'Un prophète, en comparaison, est beaucoup plus linéaire, axée sur la trajectoire ascendante du personnage. Cependant, je n'y vois pas vraiment "une réinvention de tous les instants", mais aussi un certain systématisme dans le jalonnement des étapes. Le plus symptomatique demeurant, à mon avis, les "retours" réguliers de Reyeb sa première victime assassinée (avant chaque nouvelle "épreuve" ou "palier initiatique"). J'y vois quand même un truc de scénario, cette façon de remettre de l'hésitation, de la peur, du dilemme pour que le spectateur éprouve à intervalles constants, "toujours et malgré tout" de la sympathie pour Malik.<br /><br />Autre exemple (entre autres): cette voyante (ou entendante) baisse sonore pendant la fusillade (que je peux comprendre), mais où je ne perçois que l'effet de mixage.<br /><br />Cela dit, le film est habile mais comme toujours chez Audiard, cette séduction du "travail bien fait" éveille aussi des réserves (c'est pour cette raison que je le titille sur son fond, son point de vue, sa justification, appellez ça comme vous voulez). <br /><br />Doc Orlof<br /><br />Merci du compliment. J'ai relu ta note sur "De battre..." pour connaître ton point de vue sur ce cinéaste. Je serais tout de même un peu moins sévère que toi, même si souvent les revoyures télévisuelles de ses films (me) laissent apparaître les coutures (sauf peut-être la première partie de "Sur mes lèvres", la rencontre du couple, l'histoire d'amour paradoxale vraiment originale et assez nettement et économiquement dessinée).Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-85964486487237829092009-10-10T08:09:39.044-07:002009-10-10T08:09:39.044-07:00Bien vu!
Très bien vu, même, mais c'est une h...Bien vu! <br />Très bien vu, même, mais c'est une habitude chez toi, mon cher Joachim (ceci dit, je n'ai pas eu le courage d'aller voir le Audiard)Dr Orlofhttp://drorlof.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-70179334552815068572009-10-10T02:15:37.104-07:002009-10-10T02:15:37.104-07:00mouarf (j'aurais préféré tout de même que tu m...mouarf (j'aurais préféré tout de même que tu mettes les noms devant les tirest, j'étias souvent perdu sur qui disait quoi)<br /><br />Pas d'accord sur le système qui fonctionne tout seul pour Un Prophète, contrairement à Entre les Murs c'est une mise en scène et un scénario qui se travaillent, qui se renouvellent à chaque instant. Ce n'est pas un "système" a priori.Kaherknoreply@blogger.com