tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post3445028993369830591..comments2023-10-11T03:23:58.615-07:00Comments on 365 jours ouvrables: La minute où Godard vous dit pourquoi on va au cinémaJoachimhttp://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-6243763456810037542010-12-28T02:26:50.849-08:002010-12-28T02:26:50.849-08:00Intimidant et appropriable, très bien vu !Intimidant et appropriable, très bien vu !Jean-nohttp://www.hyperbate.com/dernier/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-62945572453376509732010-12-18T04:20:27.196-08:002010-12-18T04:20:27.196-08:00Merci (même si je n'ai pas vu "Deux de la...Merci (même si je n'ai pas vu "Deux de la vague"). C'est toujours intéressant d'examiner l'histoire du cinéma par allers et retours. Je me demande d'ailleurs si quelqu'un a étudié des "duos-duels" entre artistes (du type Rimbaud - Verlaine) pour voir quelles infusions se sont produites. Et d'ailleurs si Godard et Truffaut étaient des héros de dessin animé, qui serait Ping et qui serait Pong ? (hum, je m'égare complètement là).Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-12785951487329288462010-12-17T14:12:33.563-08:002010-12-17T14:12:33.563-08:00Mais Joachim, c'est TOI qui aurais du réaliser...Mais Joachim, c'est TOI qui aurais du réaliser "Deux de la vague"!<br /><br />(désolée de ne pas mieux contribuer à cette fort intéressante discussion...)Florencenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-17279004900519792642010-12-17T00:04:55.956-08:002010-12-17T00:04:55.956-08:00A l'époque, il ne leur en fallait pas beaucoup...A l'époque, il ne leur en fallait pas beaucoup :) Voir l'interdiction du film de Rivette. Il faudrait peut être que je revienne sur ce film quoique mes autres expériences de cette partie de sa carrière ne m'aient guère convaincues. <br /><br />Truffaut / Godard, je me suis fait la même réflexion en découvrant Nathalie baye dans "Sauve qui peut..." alors qu'elle sortait de "la chambre verte". Il y a toujours eu, même après leur brouille, une façon de se parler par films interposés. Je trouve aussi que "Fahrenheit 400 quelque chose" est assez godardien dans son approche de la science fiction. J'aimerais beaucoup voir le film "Deux de la vague" qui a un ou deux ans et qui parle de leurs rapports. Je me dis qu'ils ont tous les deux cherché la même chose mais par des voies différentes, Truffaut construisant son indépendance dans le système (Les films du Carrosse), et Godard à la marge (réponse technologique avec l'atelier de Rolle). Rohmer se situant entre les deux.Vincenthttp://inisfree.hautetfort.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-81145298150568307862010-12-09T09:42:50.912-08:002010-12-09T09:42:50.912-08:00Merci Vincent.
Moi aussi, "Masculin Féminin&...Merci Vincent.<br /><br />Moi aussi, "Masculin Féminin" doit être l'un des premiers que j'ai dû voir, vers 16 ou 17 ans... et je me suis bien demandé pourquoi il avait été interdit aux moins de 18 ans. Disons que l'aspect "film d'époque" m'avait déjà paru fané alors qu'à la revoyure, le film m'est apparu profondément atemporel, aussi marqué par un romantisme mais au vrai sens littéraire, onirique du terme. Paris la nuit, l'hiver y apparaît presque comme une ville gothique, et au-delà de leurs dégaines sixties, les jeunes filles y ont des allures très nervaliennes, je trouve.<br /><br />Sur les rapports Truffaut / Godard, ce serait peut-être intéressant de voir comment leur complicité a pu produire d'intéressants allers et retours dans leurs productions réciproques (outre "l'emprunt" de Léaud). J'irais même jusqu'à dire qu'ils ont "échangé" certains films. "Tirez sur le pianiste" est éminemment godardien dans sa déconstruction du film noir alors qu' "Une femme est une femme" respire une cinéphilie (comédies américaines & musicals) et un goût de l'hommage littéraire, dont les références sont plus truffaldiennes. Aussi intéressant de voir que dans leurs activités de critique, la virulence et la provocation étaient plutôt du côté de Truffaut alors que Godard, même si sa plume était aussi pleine de verve et de nervosité, visait aussi à déceler l'harmonie des formes et une certaine continuité d'un cinéma inscrit dans l'histoire de l'art (filiation Malraux et Elie Faure). On peut avoir l'impression que ces "humeurs" se sont inversés quand ils se sont saisis d'une caméra. Evidemment, tout cela est à nuancer et à préciser, mais chacun a sans doute admiré chez l'autre la part "manquante" de leurs personnalités réciproques.Joachimhttps://www.blogger.com/profile/15813724911227011996noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-813526435016083318.post-46806498051560810702010-12-09T06:03:49.118-08:002010-12-09T06:03:49.118-08:00Salut Joachim et merci de ta contribution à ma gra...Salut Joachim et merci de ta contribution à ma grande œuvre :)<br />C'est amusant que tu ais choisi ce film, le premier que j'ai vu de JLG, sans être convaincu d'ailleurs. Comme nous avons été plusieurs à le noter, Godard, s'il n'est pas toujours évident d'apprécier ses films sur leur totalité, mets toujours quelque chose qui marque. Et comme toi, je me rends compte que je parle souvent de lui, beaucoup plus que de Truffaut dont je me sens pourtant bien plus proche. J'ai vérifié, je n'ai jamais écris sur un seul de ses films.Vincenthttp://inisfree.hautetfort.com/noreply@blogger.com